Giovanni Domenico Montella
De Lamentations de Jérémie.
Ligne 7 : | Ligne 7 : | ||
Ses ''lamentazioni'' réunissent un contrepoint ingénieux à des harmonies d'une grande liberté expressive et un chromatisme approprié, parmi lesquelles nous trouvons : | Ses ''lamentazioni'' réunissent un contrepoint ingénieux à des harmonies d'une grande liberté expressive et un chromatisme approprié, parmi lesquelles nous trouvons : | ||
- | Il écrit beaucoup de musique profane mais peu survit. Parmi ses œuvres religieuses, | + | Il écrit beaucoup de musique profane mais peu survit. Parmi ses œuvres religieuses, ses ''lamentazioni'' réunissent un contrepoint ingénieux à des harmonies d'une grande liberté expressive et un chromatisme approprié : ''Lamentationes et alia ad officivm hebdomadae sanctae Jo. Domenico Montellae Neapolitani Cvm quatvor vocibus''. [Grabado] Neapoli Apud Jo : Iacobum Carlinum, Svperiorum permissv, composées à Naples en 1602 ([[Abréviations|RISM]] M 3413, [[Abréviations|E-Mn, I-Nn]], B ; [[Abréviations|I-Rsg]], SATB ; [[Abréviations|I-SPd]], A). |
Version du 29 janvier 2019 à 16:42
[Montelli, Mico]
(Naples ~1570 – Naples 2 juillet 1607)
Compositeur, luthiste et organiste italien, considéré avec Giovanni di Macque, Scipione Dentice et Carlo Gesualdo, prince de Venosa, Rocco Rodio et Scipione Stella, comme l'une des figures de la musique napolitaine les plus importantes de la fin du XVIe, il est luthiste de l'Académie de Don Fabrizio Gesualdo, travaille vers la fin des années 80 avec son professeur Giovanni di Macque, devient ensuite musico di liuto (luthiste) à la chapelle du vice-roi espagnol à Naples en 1591, où, à partir de 1599, est encore sous la direction de Giovanni di Macque, comme luthiste et aussi comme organiste, œuvre également avec Giovanni Maria Trabaci et Ascanio Mayone, fin Octobre 1601 se révèle être l'un des organistes de la chapelle royale.
Ses lamentazioni réunissent un contrepoint ingénieux à des harmonies d'une grande liberté expressive et un chromatisme approprié, parmi lesquelles nous trouvons :
Il écrit beaucoup de musique profane mais peu survit. Parmi ses œuvres religieuses, ses lamentazioni réunissent un contrepoint ingénieux à des harmonies d'une grande liberté expressive et un chromatisme approprié : Lamentationes et alia ad officivm hebdomadae sanctae Jo. Domenico Montellae Neapolitani Cvm quatvor vocibus. [Grabado] Neapoli Apud Jo : Iacobum Carlinum, Svperiorum permissv, composées à Naples en 1602 (RISM M 3413, E-Mn, I-Nn, B ; I-Rsg, SATB ; I-SPd, A).