Codice Silensi (1917 et 1934)
De Lamentations de Jérémie.
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Toutes ces figures se retrouveront dans les autres acrostiches mais également dans les ''terminatio'', plus rarement dans les ''flexas'' et les ''mediatios''. Le petit trait, un ''épisème'', qui figure sur certaines notes indique qu'elles doivent être légèrement élargie dans l'exécution. Ensuite, la notation neumatique est plus simple puisqu'on s'approche d'un mouvement rythmique qui se rapproche de celui de la psalmodie classique. Ici, les accents sont plus marqués dans le texte lui-même par un accent aigü sur les voyelles dominantes, qu'exprimés par la notation musicale : | Toutes ces figures se retrouveront dans les autres acrostiches mais également dans les ''terminatio'', plus rarement dans les ''flexas'' et les ''mediatios''. Le petit trait, un ''épisème'', qui figure sur certaines notes indique qu'elles doivent être légèrement élargie dans l'exécution. Ensuite, la notation neumatique est plus simple puisqu'on s'approche d'un mouvement rythmique qui se rapproche de celui de la psalmodie classique. Ici, les accents sont plus marqués dans le texte lui-même par un accent aigü sur les voyelles dominantes, qu'exprimés par la notation musicale : | ||
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Comme on peut le voir, il n'y a pas de prolongement de note. Seul, le dernier PCS est pointé ce qui double à peu près la valeur de la note à laquelle le point est attaché. Mais dans ce cas, il ne s'agit pas ici de marquer un accent mais de favoriser une pause exprimée par une ''flexa''. | Comme on peut le voir, il n'y a pas de prolongement de note. Seul, le dernier PCS est pointé ce qui double à peu près la valeur de la note à laquelle le point est attaché. Mais dans ce cas, il ne s'agit pas ici de marquer un accent mais de favoriser une pause exprimée par une ''flexa''. | ||
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