Antonio Luiz Miró
De Lamentations de Jérémie.
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| + | Compositeur et pianiste espagnol, il se forme auprès de João Domingos Bomtempo et de Frei José Marques, débute sa carrière comme pianiste, .mais se réalise au théâtre de Laranjeiras du comte de Farrobo, chef d'orchestre au théâtre São Carlos, remplacé par Migoni en 1843 et reprenant son poste entre 1845 et 1848, se produit au D. Maria et au ''Gymnasium'' où étaient représentés quelques pièces de sa musique comme le "drame lyrique" ''Os infantes de Ceuta'', sur le texte d'Alexandre Herculano, les comédies ''O Conselho das dez'', ''A velhice enamorada sempre leva surriada'' et la farce ''Manuel Mendes Exúndia'', émigre en 1849-50 au Brésil à Maranhão en tant que professeur de piano et directeur d'une compagnie lyrique italienne, décide de rentrer en Europe en 1853 mais décède en cours de route. | ||
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| + | Il compose de la musique religieuse, messes, offices, psaumes et neuvaines pour les festivités des églises de Lisbonne dans lesquelles il combine l'ancien style polyphonique avec le "style moderne" de l'opéra, du madrigal et de la musique instrumentale. Parmi celle-ci, on trouve des lamentations : | ||
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Version actuelle en date du 11 mars 2019 à 10:22
(Grenade 1815 – Maranhão, Pernambuco 1853)
Compositeur et pianiste espagnol, il se forme auprès de João Domingos Bomtempo et de Frei José Marques, débute sa carrière comme pianiste, .mais se réalise au théâtre de Laranjeiras du comte de Farrobo, chef d'orchestre au théâtre São Carlos, remplacé par Migoni en 1843 et reprenant son poste entre 1845 et 1848, se produit au D. Maria et au Gymnasium où étaient représentés quelques pièces de sa musique comme le "drame lyrique" Os infantes de Ceuta, sur le texte d'Alexandre Herculano, les comédies O Conselho das dez, A velhice enamorada sempre leva surriada et la farce Manuel Mendes Exúndia, émigre en 1849-50 au Brésil à Maranhão en tant que professeur de piano et directeur d'une compagnie lyrique italienne, décide de rentrer en Europe en 1853 mais décède en cours de route.
Il compose de la musique religieuse, messes, offices, psaumes et neuvaines pour les festivités des églises de Lisbonne dans lesquelles il combine l'ancien style polyphonique avec le "style moderne" de l'opéra, du madrigal et de la musique instrumentale. Parmi celle-ci, on trouve des lamentations :
Il compose des :
- Matinas de quinta feira santa, a quatro vozes e orchestra, 1845 ;
- Matinas de sexta feira santa, a quatro vozes e orchestra, 1845 ;
- Lamentação que se canta em quinta feira santa, pour C, 2 gs, 2 vlns, fl, cl et cb, 1846.
