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   Deetes, que l’on ait pu pre9voir l’impact des subprimes, soit, mais la crise nniafcie8re actuelle… vous me citerez les noms de ceux qui l’ont annonce9e !  Nul ne demande e0 Sarkozy d'eatre voyant. Par contre, on peut raisonnablement attendre d'un pre9sident qu'il ne pre9tende pas de9cre9ter la croissance, que ce soit avec sa plume ou avec ses dents, si longues soient-elles. Tous ses pre9de9cesseurs depuis Giscard se sont re9signe9s e0 admettre que e7a ne marche pas. Mais bon, c'e9tait la rupture, alors les re8gles habituelles ne s'appliquaient pas, hein  C'est en ce sens que le de9menti du re9el est rude.  Quant e0 chercher la croissance avec les dents, la moquerie est facile. Quand la croissance est certaine, gagne9e d’avance, on n’a pas besoin d’aller la chercher.  La moquerie est facile parce que la cible est e9norme. Qui est responsable, celui qui se moque ou celui qui s'est peint ladite cible sur l'estomac ?  Nul ne sait s’il l’aurait trouve9e ou non. Chacun peut avoir son opinion, mais une certitude… Et ceux qui font semblant de croire que c’est en un an de mandat qu’on impacte la croissance, hum…  Evidemment, l'opposition fait sa pole9mique, c'est son boulot apre8s tout (et elle le fait minablement, nous sommes d'accord). Mais les e9lecteurs de Sarkozy qui ont cru aux effets magiques de la rupture ? Ils ont juste e9coute9 le chef quand il disait (juin 2007):  Mes chers amis, il y a urgence e0 renouer avec la croissance. On va re9ussir ou e9chouer le0-dessus. Ce point qui nous manque, on va aller le chercher. La croissance c'est un tout. La croissance c'est tous les secteurs quis'entraeenent les uns les autres. On va agir sur tous les leviers e0 la fois. Nous allons cre9er une masse critique de dynamisme, d'e9nergie, d'innovation et d'optimisme. Nous allons nous efforcer de le faire dans les semaines et mois qui viennent sans perdre une minute

   Deetes, que l’on ait pu pre9voir l’impact des subprimes, soit, mais la crise nniafcie8re actuelle… vous me citerez les noms de ceux qui l’ont annonce9e !  Nul ne demande e0 Sarkozy d'eatre voyant. Par contre, on peut raisonnablement attendre d'un pre9sident qu'il ne pre9tende pas de9cre9ter la croissance, que ce soit avec sa plume ou avec ses dents, si longues soient-elles. Tous ses pre9de9cesseurs depuis Giscard se sont re9signe9s e0 admettre que e7a ne marche pas. Mais bon, c'e9tait la rupture, alors les re8gles habituelles ne s'appliquaient pas, hein  C'est en ce sens que le de9menti du re9el est rude.  Quant e0 chercher la croissance avec les dents, la moquerie est facile. Quand la croissance est certaine, gagne9e d’avance, on n’a pas besoin d’aller la chercher.  La moquerie est facile parce que la cible est e9norme. Qui est responsable, celui qui se moque ou celui qui s'est peint ladite cible sur l'estomac ?  Nul ne sait s’il l’aurait trouve9e ou non. Chacun peut avoir son opinion, mais une certitude… Et ceux qui font semblant de croire que c’est en un an de mandat qu’on impacte la croissance, hum…  Evidemment, l'opposition fait sa pole9mique, c'est son boulot apre8s tout (et elle le fait minablement, nous sommes d'accord). Mais les e9lecteurs de Sarkozy qui ont cru aux effets magiques de la rupture ? Ils ont juste e9coute9 le chef quand il disait (juin 2007):  Mes chers amis, il y a urgence e0 renouer avec la croissance. On va re9ussir ou e9chouer le0-dessus. Ce point qui nous manque, on va aller le chercher. La croissance c'est un tout. La croissance c'est tous les secteurs quis'entraeenent les uns les autres. On va agir sur tous les leviers e0 la fois. Nous allons cre9er une masse critique de dynamisme, d'e9nergie, d'innovation et d'optimisme. Nous allons nous efforcer de le faire dans les semaines et mois qui viennent sans perdre une minute