Félix-Alexandre Guilmant
De Lamentations de Jérémie.
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(Boulogne-sur-Mer 1837 – Meudon 1911) | (Boulogne-sur-Mer 1837 – Meudon 1911) | ||
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Compositeur et organiste français, il reçoit ses 1<sup>ères</sup> leçons de son père, facteur d'orgue, prend des cours d'harmonie en 1849 avec Gustave Carulli, fils du fameux guitariste de ce nom, se rend ensuite à Bruxelles auprès de Nicolas-Jacques Lemmens, est nommé organiste de l'église Saint-Joseph en 1853, puis maître de chapelle de Saint-Nicolas à Boulogne en 1857, et ensuite professeur de solfège à l'école communale de musique, crée un Orphéon. | Compositeur et organiste français, il reçoit ses 1<sup>ères</sup> leçons de son père, facteur d'orgue, prend des cours d'harmonie en 1849 avec Gustave Carulli, fils du fameux guitariste de ce nom, se rend ensuite à Bruxelles auprès de Nicolas-Jacques Lemmens, est nommé organiste de l'église Saint-Joseph en 1853, puis maître de chapelle de Saint-Nicolas à Boulogne en 1857, et ensuite professeur de solfège à l'école communale de musique, crée un Orphéon. | ||
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Remarqué à Paris, il inaugure les orgues de Saint-Sulpice en 1862, est nommé en 1871 à la succession d'Alexis Chauvet à la tribune de la Trinité, fonde en 1894 la ''Schola Cantorum'' avec Charles-Marie-Anne Bordes et Vincent D'Indy et succède à Charles-Marie Widor à la classe d'orgue du Conservertoire de Paris en 1896. | Remarqué à Paris, il inaugure les orgues de Saint-Sulpice en 1862, est nommé en 1871 à la succession d'Alexis Chauvet à la tribune de la Trinité, fonde en 1894 la ''Schola Cantorum'' avec Charles-Marie-Anne Bordes et Vincent D'Indy et succède à Charles-Marie Widor à la classe d'orgue du Conservertoire de Paris en 1896. | ||
