Xuárez, Alonso

De Lamentations de Jérémie.

 
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(Fuensalida, Espagne 1640-1696)
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'''[Juáres, Juares, Suárez, Juárez, Xuárez]'''
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Maître de chapelle espagnol, renommé du baroque et disciple de [[Tomás Miciezes]] ''el mayor'' au couvent des ''Descalzas Reales'' de Madrid, il succède en 1664 à José de Alcalá, maestro de capilla de la cathédrale de Cuenca, mais sa réputation le fait installer à la cathédrale de Séville en 1675 jusqu'en 1684 (D. Miguel Tello lui succède), date à laquelle il retourne à Cuenca pour raison de santé. Il y reçoit une prébende de l'évêque Alonso Antonio de San Martin.
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(Fuensalida, Espagne 14 avril 1640- Cuenca 6 juin 1696)
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Maître de chapelle espagnol, il est instruit musicalment par son père, tant dans le plain-chant que dans les rudiments du contrepoint et de l'orgue, connaissances exigées de quiconque servait de sacristain, renommé du baroque et disciple de [[Tomás Miciezes]] ''el mayor'' au couvent des ''Descalzas Reales'' de Madrid, succède en 1664 à José de Alcalá, maestro de capilla de la cathédrale de Cuenca, mais sa réputation le fait installer à la cathédrale de Séville en 1675 jusqu'en 1684, D. Miguel Tello lui succèdant, date à laquelle il retourne à Cuenca pour raison de santé, y reçoit une prébende de l'évêque Alonso Antonio de San Martin, son élève, Juliân Martinez Diaz, maestro à Jeréz, lui succèdant dans son poste d'enseignant à Cuenca.
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On compte parmi ses disciples, les frères Diego [[Durón]] de Ortega et Sebastián [[Durón]] Picazo, qui accédent à des postes importants grâce à ses recommandations, le premier devenant maître de chapelle de la cathédrale de Las Palmas et le second, organiste de la cathédrale de Séville, et Julián Martínez Díaz.
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On compte parmi ses disciples, les frères Diego Durón de Ortega et Sebastián Durón Picazo, qui accédent à des postes importants grâce à ses recommandations, le premier devenant maître de chapelle de la cathédrale de Las Palmas et le second, organiste de la cathédrale de Séville, et Julián Martínez Díaz.
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Il laisse un vaste catalogue de musique religieuse, conservé principalement dans les deux cathédrales où il œuvre, mais également dans des lieux aussi dispersés que Munich et Mexico.
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Xuárez laisse un vaste catalogue de musique religieuse, conservé principalement dans les deux cathédrales où il œuvre, mais également dans des lieux aussi dispersés que Munich et Mexico.
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Parmi ses œuvres, on peut noter les lamentaciones suivantes (E-CU) :
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Parmi ses œuvres, on peut noter les lamentaciones suivantes (E-CU, XXV-15) :
De lamentatione Hieremiae à 8 vx, cb, bn, clv et bc,
De lamentatione Hieremiae à 8 vx, cb, bn, clv et bc,

Version actuelle en date du 25 février 2024 à 08:33

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