Francisco Andreví y Castellar

De Lamentations de Jérémie.

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Compositeur, directeur et théoricien espagnol d'origine italienne, il débute ses études musicales à la ''Seu'' d'Urgel, où il est également chantre, travaille l'orgue avec Juan Quintana et la composition avec Francisco Queralt à Barcelone, devient successivement ''maestro de capilla'' de la cathédrale de Tarifa en 1806, deux ans après de la cathédrale de Ségovie (il succède à [[Francisco Rodríguez Santafé]]), de Santa María del Mar à Barcelone en 1814, de Valence en 1819, de Séville en 1830 et enfin de la ''Capilla Real'' de Madrid la même année, avec le rectorat du ''Real Colegio de Niños Cantores'', émigre en France en 1836, pour des raisons politiques, occupe le poste de maître de chapelle à Bordeaux, devient organiste à Paris en 1845, retourne en Espagne vers 1848-49 où il obtient en 1850 le poste de ''maestro de capilla'' de la basilique ''Virgen de la Merced'' et de directeur de ''l'Escolanía'', postes qu'il occupe jusqu'à sa mort.  
Compositeur, directeur et théoricien espagnol d'origine italienne, il débute ses études musicales à la ''Seu'' d'Urgel, où il est également chantre, travaille l'orgue avec Juan Quintana et la composition avec Francisco Queralt à Barcelone, devient successivement ''maestro de capilla'' de la cathédrale de Tarifa en 1806, deux ans après de la cathédrale de Ségovie (il succède à [[Francisco Rodríguez Santafé]]), de Santa María del Mar à Barcelone en 1814, de Valence en 1819, de Séville en 1830 et enfin de la ''Capilla Real'' de Madrid la même année, avec le rectorat du ''Real Colegio de Niños Cantores'', émigre en France en 1836, pour des raisons politiques, occupe le poste de maître de chapelle à Bordeaux, devient organiste à Paris en 1845, retourne en Espagne vers 1848-49 où il obtient en 1850 le poste de ''maestro de capilla'' de la basilique ''Virgen de la Merced'' et de directeur de ''l'Escolanía'', postes qu'il occupe jusqu'à sa mort.  
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Il a composé beaucoup de musique d'église d'un bon style parmi laquelle on note les manuscrits de 9 Lamentations, tous à Madrid (E-Mn). Le catalogue des archives musicales du Palais Royal (Madrid) relève :
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Il a composé beaucoup de musique d'église d'un bon style parmi laquelle on note les manuscrits de 9 Lamentations, tous à Madrid ([[Abréviations|E-Mn]]). Le catalogue des archives musicales du Palais Royal (Madrid) relève :
:103. ''A solo de Bajo, Tiple y Tenor con orquesta'' [''Tres Lamentaciones''] "Num.6 ''Lamentaciones del Miercoles à Solo''. 1831. Ms 15.
:103. ''A solo de Bajo, Tiple y Tenor con orquesta'' [''Tres Lamentaciones''] "Num.6 ''Lamentaciones del Miercoles à Solo''. 1831. Ms 15.

Version du 7 mai 2010 à 17:15

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