Les Offices des Ténèbres après la grande époque
De Lamentations de Jérémie.
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Les déviations musicales prennent progressivement le pas au cours du XIX<sup>e</sup> siècle (mais comment délimiter un périmètre artistique !) puisque le Pape Pie X publie le ''Motu proprio'' le 22 novembre 1903 (''Motu Proprio, Tra le sollecitudini del sumo Pontífice Pío X ''sur la'' Música sagrada'') qui ''souligne la partie intégrante de la liturgie solennelle, qui est la gloire de Dieu et la sanctification et l'édification des fidèles''<sup>[[#6]]</sup> et qui déclare dans son 1<sup>er</sup> alinéa le maintien et la promotion de ''la dignité de la maison de Dieu où se célèbrent les saints mystères de la religion'', et donne des directives pour relever ''l'altération du goût'' ou dénoncer l'influence ''d'un art profane et théâtral''. La musique sacrée ''doit être sainte en elle-même et dans la façon dont les exécutants la présentent. Elle doit être un art véritable, s'il en était autrement elle ne pourrait avoir sur les auditeurs l'influence heureuse que l'Église entend exercer en l'admettant dans sa liturgie. Elle doit être universelle même s'il est permis à chaque nation d'adopter'' [...] ''des formes particulières''<sup>[[#7]]</sup>. | Les déviations musicales prennent progressivement le pas au cours du XIX<sup>e</sup> siècle (mais comment délimiter un périmètre artistique !) puisque le Pape Pie X publie le ''Motu proprio'' le 22 novembre 1903 (''Motu Proprio, Tra le sollecitudini del sumo Pontífice Pío X ''sur la'' Música sagrada'') qui ''souligne la partie intégrante de la liturgie solennelle, qui est la gloire de Dieu et la sanctification et l'édification des fidèles''<sup>[[#6]]</sup> et qui déclare dans son 1<sup>er</sup> alinéa le maintien et la promotion de ''la dignité de la maison de Dieu où se célèbrent les saints mystères de la religion'', et donne des directives pour relever ''l'altération du goût'' ou dénoncer l'influence ''d'un art profane et théâtral''. La musique sacrée ''doit être sainte en elle-même et dans la façon dont les exécutants la présentent. Elle doit être un art véritable, s'il en était autrement elle ne pourrait avoir sur les auditeurs l'influence heureuse que l'Église entend exercer en l'admettant dans sa liturgie. Elle doit être universelle même s'il est permis à chaque nation d'adopter'' [...] ''des formes particulières''<sup>[[#7]]</sup>. | ||
- | Ce discours sera constamment relayé au cours du | + | |
- | La Lettre apostolique Rubricarum instructum du pape Jean XXIII de juillet 1960 institue de larges coupes sombres dans certaines parties liturgiques et, pour ce qui concerne les leçons des Ténèbres : | + | Ce discours sera constamment relayé au cours du XX<sup>e</sup> d'abord par la Congrégation des rites, ensuite par les évêques, par le pape Pie XII en 1947 dans la Lettre encyclique ''Mediator Dei'' du 20 novembre 1947 et l'encyclique ''Musicæ sacræ'' du 25 décembre 1955, et enfin par le Concile Vatican II. |
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- | + | La Lettre apostolique ''Rubricarum instructum'' du pape Jean XXIII de juillet 1960 institue de larges coupes sombres dans certaines parties liturgiques et, pour ce qui concerne les leçons des Ténèbres : | |
- | Deux ans après, un nouveau Concile est réuni en 1962 avec des applications cette fois-ci fâcheuses mais non prévues pour le latin qui en fait les frais . Est-ce le résultat d'une mauvaise lecture ou d'une interprétation abusive rattachée à la promotion de la participation active des fidèles qui ne peut ni ne doit chanter le latin ? | + | |
- | La Semaine Religieuse d'Angers | + | * la réduction de Matines à trois leçons : l'Archevêque Vintimille de Paris, un sympathisant janséniste, dans sa réforme du Bréviaire en 1736, ''a ramené l'Office pendant la plupart des jours à trois leçons, pour le rendre plus court'' ; ceci signifie la suppression d'un tiers des Lectures, deux tiers de la vie des saints et de la totalité des commentaires des pères d'église sur les Ecritures ; |
- | Les autres genres de musique sacrée, mais surtout la polyphonie, ne sont nullement exclus de la célébration des offices divins, pourvu qu'ils s'accordent avec l'esprit de l'action liturgique . | + | |
+ | * la réforme des Jeudi, Vendredi et Samedi saints ; ceci s'est produit également en 1736, avec le Bréviaire de Vintimille (''une action très grave, et ce qui est plus, le plus pénible pour le piety du fidèle'', a dit Dom Gueranger.). | ||
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+ | Deux ans après, un nouveau Concile est réuni en 1962 avec des applications cette fois-ci fâcheuses mais non prévues pour le latin qui en fait les frais<sup>[[#8]]</sup>. Est-ce le résultat d'une mauvaise lecture ou d'une interprétation abusive rattachée à la promotion de la participation active des fidèles qui ne peut ni ne doit chanter le latin ? | ||
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+ | La ''Semaine Religieuse'' d'Angers ne titrait-il pas : ''Le latin, voilà l'ennemi'' (René Logeais, ancien petit maîtrisien d'Angers). Cette affirmation est pourtant en nette contradiction avec la décision de la conférence épiscopale française qui avait voté pour le maintien du ''Kyriale'' en latin et ce, en accord avec la 1ère Constitution du Vatican II : la musique sacrée est un ''trésor d'une valeur inestimable qui l'emporte sur les autres arts, du fait surtout que, chant sacré lié aux paroles, il fait partie nécessaire ou intégrante de la liturgie solennelle''<sup>[[#9]]</sup>. | ||
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+ | ''Les autres genres de musique sacrée, mais surtout la polyphonie, ne sont nullement exclus de la célébration des offices divins, pourvu qu'ils s'accordent avec l'esprit de l'action liturgique''<sup>[[#10]]</sup>. | ||
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On sent bien comme un tiraillement entre l'exploitation du patrimoine passée, généralement bien connu de l'assemblée, et l'adoption d'un répertoire en devenir, totalement à écrire. | On sent bien comme un tiraillement entre l'exploitation du patrimoine passée, généralement bien connu de l'assemblée, et l'adoption d'un répertoire en devenir, totalement à écrire. | ||
- | Beaucoup plus récemment, Jean-Paul II confirme en 2001 la place de la musique sacrée dans la liturgie catholique : A vous, professeurs et élèves [de l'Institut pontifical de musique sacrée], il est demandé de valoriser au mieux vos dons artistiques, en conservant et en promouvant l'étude et la pratique de la musique et du chant dans les milieux et à travers les instruments que le Concile Vatican II a indiqués comme privilégiés : le chant grégorien, la polyphonie sacrée, et l'orgue . Il ne masque pas, dit-il, les difficultés dues (il en est sûr) non pas à Vatican II proprement dit, mais aux interprétations hâtives qui ont foisonné par la suite. | + | |
- | Dans son ouvrage, le chanoine Poirier | + | Beaucoup plus récemment, Jean-Paul II confirme en 2001 la place de la musique sacrée dans la liturgie catholique : ''A vous, professeurs et élèves'' [de l'Institut pontifical de musique sacrée], ''il est demandé de valoriser au mieux vos dons artistiques, en conservant et en promouvant l'étude et la pratique de la musique et du chant dans les milieux et à travers les instruments que le Concile Vatican II a indiqués comme privilégiés : le chant grégorien, la polyphonie sacrée, et l'orgue''<sup>[[#11]]</sup>''. Il ne masque pas, dit-il, les difficultés dues (il en est sûr) non pas à Vatican II proprement dit, mais aux interprétations hâtives qui ont foisonné par la suite''<sup>[[#12]]</sup>. |
- | Comme le dit l’abbé Gresland à propos de l'abandon du chant grégorien, véritable réquisitoire pour la vraie musique sacrée, pour ce qui est des paroles des nouveaux cantiques, on a proposé un chant dit populaire en langue vulgaire. Mais suffit-il de prier en français pour que les foules retrouvent le sens de Dieu ? Certainement non. La liturgie moderniste, en voulant imposer la langue vulgaire, sous prétexte de faire comprendre, a supprimé le mystère et le sens du sacré. | + | |
- | La pauvreté de l’inspiration a engendré le plus souvent des fadaises, des textes niais ou insipides, ou même dont on se demande ce qu’ils veulent dire. Mais certains cantiques expriment une nouvelle théologie, dégoulinante d’humanisme, voire carrément révolutionnaire. Les nouveaux chants exaspéraient beaucoup de fidèles : On nous oblige à chanter ou à écouter des cantiques imbéciles, disait André Charlier. | + | Dans son ouvrage, le chanoine Poirier<sup>[[#13]]</sup> a bien raison de poser très clairement la question : ''Une maîtrise peut-elle tenir son rôle et enseigner honnêtement la musique religieuse à ses élèves en ignorant les pièces de tous pays composées sur paroles latines ? Elle renoncerait aux 9/10èmes des chefs-d'œuvre composés pour l'office''<sup>[[#14]]</sup>. |
- | La banalité des textes n’a d’égale que la médiocrité de la musique. Dans ce domaine, les catholiques ont eu droit aux mélodies à l’eau de rose ou sirupeuses, comme celles du Père Gélineau, ou à une musique informe, bricolée par des amateurs. | + | |
+ | Ces propos sont relayés par Joachim Havard de la Montagne<sup>[[#15]]</sup>, maître de chapelle de l'église de la Madeleine, lorsqu'il se pose la question de la disparition des maîtres de chapelle qui se fait rare de nos jours. ''L'espèce se fait rare, surtout en France, plus rare encore depuis les réformes intervenues dans la liturgie catholique, réformes mal comprises, mal interprétées souvent volontairement par un clergé totalement incompétent. On retrouva certaines idéologies envahissant le domaine de la musique sacrée : celle-ci est classée au rang des trésors incompréhensibles aux oreilles du peuple (que l'on sous-estime évidemment et que l'on se refuse dès lors à éduquer), trésors aussi faisant tâche dans une église qui se veut l'église des pauvres et des prolétaires, étant entendu que ceux-ci seulement peuvent être de vrais chrétiens''. | ||
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+ | Comme le dit l’abbé Gresland à propos de l'abandon du chant grégorien, véritable réquisitoire pour la vraie musique sacrée, ''pour ce qui est des paroles des nouveaux cantiques, on a proposé un chant dit ''populaire'' en langue vulgaire. Mais suffit-il de prier en français pour que les foules retrouvent le sens de Dieu ? Certainement non. La liturgie moderniste, en voulant imposer la langue vulgaire, sous prétexte de faire comprendre, a supprimé le mystère et le sens du sacré''. | ||
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+ | ''La pauvreté de l’inspiration a engendré le plus souvent des fadaises, des textes niais ou insipides, ou même dont on se demande ce qu’ils veulent dire. Mais certains cantiques expriment une nouvelle théologie, dégoulinante d’humanisme, voire carrément révolutionnaire. Les nouveaux chants exaspéraient beaucoup de fidèles'' : On nous oblige à chanter ou à écouter des cantiques imbéciles, ''disait André Charlier''<sup>[[#16]]</sup>. | ||
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+ | ''La banalité des textes n’a d’égale que la médiocrité de la musique. Dans ce domaine, les catholiques ont eu droit aux mélodies à l’eau de rose ou sirupeuses, comme celles du Père Gélineau, ou à une musique informe, bricolée par des amateurs''<sup>[[#17]]</sup>. | ||
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Nous laissons, bien entendu, la responsabilité de ces propos à leurs auteurs. Mais il est certain que nous vivons depuis Vatican II un flottement avec une musique en reconstruction. Il faudra du temps. | Nous laissons, bien entendu, la responsabilité de ces propos à leurs auteurs. Mais il est certain que nous vivons depuis Vatican II un flottement avec une musique en reconstruction. Il faudra du temps. | ||
- | Maintenant, ce sont les concerts et autres spectacles qui prennent le relais pour redonner, d'ailleurs très souvent dans les églises et cathédrales, les œuvres polyphoniques du patrimoine artistique religieux. Alors, nous voyons, ici ou là, à l'appui des concerts dans les églises ou les théâtres, des reconstitutions toujours entachées d'erreur des cérémonies des Leçons des Ténèbres. Des cierges sont parfois allumés. Seuls les artistes bénéficient d'une lumière pour suivre la partition. Quelquefois même, on va même | + | |
- | Et ces Lamentations sont chantées quelquefois au moment de la Semaine Sainte, mais le plus souvent à n'importe quelle période de l'année, dans le cadre d'un festival (Semana de Música Religiosa de Cuenca pour une intégrale de l'Officium Hebdomadae Sanctae de Tomás Luis de Victoria, Revivance du Patrimoine en pays Luynois pour Les Lamentations de Jérémie le Prophète de Bernard Ycart et d'Alexandre Agricola par exemple) ou de concerts (les Concerts Parisiens pour les Leçons de Ténèbres de Marc-Antoine Charpentier ou François Couperin | + | Maintenant, ce sont les concerts et autres spectacles qui prennent le relais pour redonner, d'ailleurs très souvent dans les églises et cathédrales, les œuvres polyphoniques du patrimoine artistique religieux. Alors, nous voyons, ici ou là, à l'appui des concerts dans les églises ou les théâtres, des reconstitutions toujours entachées d'erreur des cérémonies des ''Leçons des Ténèbres''. Des cierges sont parfois allumés. Seuls les artistes bénéficient d'une lumière pour suivre la partition. Quelquefois même, on va même jusqu'à éteindre des cierges après une Leçon (et non après un psaume comme c'est prévu par le cérémonial). Ces concerts, sortis du contexte, en imitant ou en rappelant les rites ecclésiastiques, même s'ils se déroulent dans les églises, sont une véritable singerie de la liturgie et un véritable outrage au caractère original purement religieux<sup>[[#18]]</sup>. |
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+ | Et ces Lamentations sont chantées quelquefois au moment de la Semaine Sainte, mais le plus souvent à n'importe quelle période de l'année, dans le cadre d'un festival (''Semana de Música Religiosa'' de Cuenca pour une intégrale de ''l'Officium Hebdomadae Sanctae'' de [[Tomás Luis de Victoria]], ''Revivance du Patrimoine en pays Luynois'' pour ''Les Lamentations de Jérémie le Prophète'' de [[Bernard Ycart]] et d'[[Alexandre Agricola]] par exemple) ou de concerts (les Concerts Parisiens pour les ''Leçons de Ténèbres'' de [[Marc-Antoine Charpentier]] ou [[François Couperin]] autre exemple). | ||
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Le spectacle est dans la salle, mais plus dans les églises. C'est ce qu'a fait le russe Anatoli Vassiliev, en mettant en scène les Lamentations de Jérémie, avec la musique d'un autre russe, Vladimir Martinov, représentation d'une heure quarante-cinq minutes chantée en slavon par des acteurs revêtus de costumes religieux, au théâtre École d'Art Dramatique de Moscou, en 1996 (qui obtiendra le Prix National de Théâtre de la Russie et Masque d'Or). Ce spectacle sera repris au Festival d'Avignon l'année suivante. Jean-Pierre Leonardini, dans l'Humanité du 15 juillet 1997, ne se pose-t-il pas la question de savoir si le théâtre vient du sacré, l'exposition d'un rituel du théâtre ? Oui, à condition qu'un subtil décalage laisse du jour entre les formes [exprimées]. | Le spectacle est dans la salle, mais plus dans les églises. C'est ce qu'a fait le russe Anatoli Vassiliev, en mettant en scène les Lamentations de Jérémie, avec la musique d'un autre russe, Vladimir Martinov, représentation d'une heure quarante-cinq minutes chantée en slavon par des acteurs revêtus de costumes religieux, au théâtre École d'Art Dramatique de Moscou, en 1996 (qui obtiendra le Prix National de Théâtre de la Russie et Masque d'Or). Ce spectacle sera repris au Festival d'Avignon l'année suivante. Jean-Pierre Leonardini, dans l'Humanité du 15 juillet 1997, ne se pose-t-il pas la question de savoir si le théâtre vient du sacré, l'exposition d'un rituel du théâtre ? Oui, à condition qu'un subtil décalage laisse du jour entre les formes [exprimées]. | ||
Mais le plus inattendu nous attend peut-être avec l'introduction de la musique populaire pour en faire une musique religieuse. N'a-t-on pas condamné en son temps les Kyriales basés sur des chants populaires (messes La Bataille, Sur le Pont d'Avignon, L'Homme armé, M'amie un jour, O gente brunette, Malheur me bat, Bergerette savoyenne, Tant plus je mets, De mes ennuys, Je n'ay dueul, Pourquoy non, Se la face ay pâle et bien d'autres encore) ! Alors, face à une telle dévastation du chant sacré, pourquoi pas une Lamentation sur du rap comme celle-ci : | Mais le plus inattendu nous attend peut-être avec l'introduction de la musique populaire pour en faire une musique religieuse. N'a-t-on pas condamné en son temps les Kyriales basés sur des chants populaires (messes La Bataille, Sur le Pont d'Avignon, L'Homme armé, M'amie un jour, O gente brunette, Malheur me bat, Bergerette savoyenne, Tant plus je mets, De mes ennuys, Je n'ay dueul, Pourquoy non, Se la face ay pâle et bien d'autres encore) ! Alors, face à une telle dévastation du chant sacré, pourquoi pas une Lamentation sur du rap comme celle-ci : | ||
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:<span style="color:#808080;"><span id="6">'''6'''. ''Inter sollicitudines, AAS 36, 1903, 332.''</span> | :<span style="color:#808080;"><span id="6">'''6'''. ''Inter sollicitudines, AAS 36, 1903, 332.''</span> | ||
:<span style="color:#808080;"><span id="7">'''7'''. La Liturgie. ''Collection Les enseignements pontificaux, Desclée.''</span> | :<span style="color:#808080;"><span id="7">'''7'''. La Liturgie. ''Collection Les enseignements pontificaux, Desclée.''</span> | ||
- | :<span style="color:#808080;"><span id=" | + | :<span style="color:#808080;"><span id="8">'''8'''. ''Jean XXIII a réuni le XXIe Concile œcuménique en 1962, puis Paul VI lui a succédé. Quatre sessions – 11.10 / 8.12.1962, 29.9 / 4.12.1963, 14.9 / 21.11.1964 et 14.9 / 8.12.1965 – ont permis de promulguer 4 constitutions pour le renouveau de l'Église. L'une des constitutions, ''Sacrosanctum concilium'', promulguée le 4 décembre 1963, touche à la rénovation de la liturgie dont la musique n'est pas étrangère.''</span> |
- | :<span style="color:#808080;"><span id=" | + | :<span style="color:#808080;"><span id="9">'''9'''. ''Op. cité, n° 112.''</span> |
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="10">'''10'''. ''Op. cité, n° 116.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="11">'''11'''. ''Discours de Jean Paul II aux professeurs et élèves de l'Institut pontifical de musique sacrée. Vendredi 19 janvier 2001.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="12">'''12'''. ''Introduction de Vittorio Messori, Entrez dans l'Espérance, Jean-Paul II, Plon-Mame, Paris, 1994.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="13">'''13'''. ''Chanoine et directeur de la maîtrise de la cathédrale d'Angers de 1946 à 1966 ; op. cité.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="14">'''14'''. ''Ibid.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="15">'''15'''. ''Musica et memoria : http://www.musimem.com/maitre-de-chapelle.htm''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="16">'''16'''. ''Itinéraires, novembre 1965..''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="17">'''17'''. ''http://www.dici.org/thomatique.php''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="18">'''18'''. ''Voir par exemple, Festival de Musique de Besançon 2001, concert du 28 septembre à la cathédrale Saint-Jean.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="13">'''13'''. ''Op. cité, n° 112.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="13">'''13'''. ''Op. cité, n° 112.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="13">'''13'''. ''Op. cité, n° 112.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="13">'''13'''. ''Op. cité, n° 112.''</span> |