L'extinction des cierges
De Lamentations de Jérémie.
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Plus loin<sup>[[#23]]</sup>, il rajoute encore une précision : ''Au samedy-saint, au rit Romain, le diacre, en élevant le cierge triangulaire ''allumé'', dit LUMEN Christi<sup>[[#24]]</sup>. Et à l'abbaye de Fecan, parce que le baston qui portoit ce cierge, étoit tourné en forme de ''serpent'', ou plutôt à cause que la bougie ''serpentoit'' autour du baston, on chantoit en rentrant dans le chœur'', Sicut exaltatus est ''serpens'' in eremo, ita exaltari oportet Filium hominis. | Plus loin<sup>[[#23]]</sup>, il rajoute encore une précision : ''Au samedy-saint, au rit Romain, le diacre, en élevant le cierge triangulaire ''allumé'', dit LUMEN Christi<sup>[[#24]]</sup>. Et à l'abbaye de Fecan, parce que le baston qui portoit ce cierge, étoit tourné en forme de ''serpent'', ou plutôt à cause que la bougie ''serpentoit'' autour du baston, on chantoit en rentrant dans le chœur'', Sicut exaltatus est ''serpens'' in eremo, ita exaltari oportet Filium hominis. | ||
- | De tels propos sont repris à nouveau sous forme d'un entretien, technique de communication fort utilisée à cette époque, entre Dom Claude & de Dom Pierre moines de l'Ordre de Clugny, sur la disposition de ''l'Office de la Semaine-sainte'' contenu dans le nouveau ''Breviaire'' de cette Ordre, dialogue apportant quelques précisions complémentaires<sup>[[#25]]</sup> notamment sur le nombre de cierges utilisés. On se référera à l'intégralité du texte | + | De tels propos sont repris à nouveau sous forme d'un entretien, technique de communication fort utilisée à cette époque, entre Dom Claude & de Dom Pierre moines de l'Ordre de Clugny, sur la disposition de ''l'Office de la Semaine-sainte'' contenu dans le nouveau ''Breviaire'' de cette Ordre, dialogue apportant quelques précisions complémentaires<sup>[[#25]]</sup> notamment sur le nombre de cierges utilisés. On se référera à l'intégralité du texte dans l'article [[Nouveau Breviaire de l'Ordre de Clugny]]. |
Jean Grancolas, de son côté, pense qu'on a un peu rendu énigmatique quelque chose qui a dû, à l'origine, être banal et sans dessein<sup>[[#26]]</sup>. ''Dans la suite on a trouvé du mystére à finir quand tout étoit éteint, & on a appelé Ténébres ou ''Matutinæ Tenebræ, & quod sine lumine terminantur'', parce que quand on les finit il n'y a plus de lumiére. Nous avons vû qu'Abelard les appelle Ténébres<sup>[[#27]]</sup> : ''Horum vulgo dierum vigiliæ nuncupantur Tenebræ...'' Hugues de Flavigni, qui vivoit au douziéme siecle, leur donne aussi ce nom. Aujourd'hui on a si fort avancé Matines & Laudes, qu'ils finissent à la nuit, & on éteint les cierges dans le tems qu'on en auroit le plus de besoin, si on avoit à rester à l'Eglise. Dans Amalaire<sup>[[#28]]</sup> on voit que Theodore, Archidiacre de Rome, étant consulté sur ces cierges qu'on éteignoit déjà peu à peu au tems d'Amalaire, répondit, qu'il n'avoit point vû éteindre les cierges la nuit à l'Office en l'Eglise de S. Jean de Latran, où le Pape assistoit'' : Solco esse cum Apostolico in Lateranis quando celebratur Officium de Cœna Domini, nihil in cadem nocte observatur de extinctione luminum. | Jean Grancolas, de son côté, pense qu'on a un peu rendu énigmatique quelque chose qui a dû, à l'origine, être banal et sans dessein<sup>[[#26]]</sup>. ''Dans la suite on a trouvé du mystére à finir quand tout étoit éteint, & on a appelé Ténébres ou ''Matutinæ Tenebræ, & quod sine lumine terminantur'', parce que quand on les finit il n'y a plus de lumiére. Nous avons vû qu'Abelard les appelle Ténébres<sup>[[#27]]</sup> : ''Horum vulgo dierum vigiliæ nuncupantur Tenebræ...'' Hugues de Flavigni, qui vivoit au douziéme siecle, leur donne aussi ce nom. Aujourd'hui on a si fort avancé Matines & Laudes, qu'ils finissent à la nuit, & on éteint les cierges dans le tems qu'on en auroit le plus de besoin, si on avoit à rester à l'Eglise. Dans Amalaire<sup>[[#28]]</sup> on voit que Theodore, Archidiacre de Rome, étant consulté sur ces cierges qu'on éteignoit déjà peu à peu au tems d'Amalaire, répondit, qu'il n'avoit point vû éteindre les cierges la nuit à l'Office en l'Eglise de S. Jean de Latran, où le Pape assistoit'' : Solco esse cum Apostolico in Lateranis quando celebratur Officium de Cœna Domini, nihil in cadem nocte observatur de extinctione luminum. | ||
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+ | :<span style="color:#808080;"><span id="9">'''9'''. ''En Angleterre, John Harper (''The Forms and Orders of Western Liturgy from the Tenth to the Eighteenth Century. A Historical Introduction and Guide for Students and Musicians''. Oxford. 1991) en indique 24 qui sont éteints après chaque antiphone et répons, et après le dernier psaume des Laudes, l'église se trouvait dans l'obscurité.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="10">'''10'''. ''Cire jaune vierge.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="11">'''11'''. ''Luminaire triangulaire.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="12">'''12'''. ''Appelé aussi ''saetta'' en Grande-Bretagne, ''tinieblario'' en Espagne.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="13">'''13'''. ''Le candelabre s'appelle ''hearse'' en anglais parce que sa forme rappelle une herse agricole, terme lui-même dérivé du latin herpex.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="14">'''14'''. ''L'office de la Semaine Sainte, à l'usage du Diocèse de Clermont, Conformément au nouveau Breviaire, au Missel & Processionnal, A Clermont-Ferrand De l'Imprimerie d'Antoine Delcros, Imprimeur de Monseigneur l'Evêque & du Clergé, rue de la Treille, 1777, Avec privilège du Roi, p. 59 et s.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="15">'''15'''. ''M. de Marolles, op. cité, p. 152 et s.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="16">'''16'''. ''Reservetur absconsa usque in Sabbatum Sanctum.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="17">'''17'''. ''Semaine Sainte, ouvrage dédié à la Reine et signé par J.N.C., (~1661), pp. 39 et s.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="18">'''18'''. ''Voyez sur cela l'ordre Romain ; ou il est dit que "Ces trois jours-là on tuë pendant matines tous les cierges, & pendant laudes toutes les lampes, en-sorte que la derniere soit tuée au ''Benedictus''." Je me sers icy figurément avec l'ordre Romain, du mot de tuer, pour dire éteindre ; ''Lumen incipiat TUTARI ; TUTET lampadam unam''. Cette matiere se trouve déjà traitée avec plus d'étenduë, dans nos Eclaircissemens sur le nouveau breviaire de Clugny, imprimez à Paris, en 1690, chez François Muguet.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="19">'''19'''. ''A Rheims & à Evreux, elles ne commencent encore qu'à 5 heures & demie du soir ; à Auxerre à 6 heures ; à Sens à 7. Mais en la plupart du reste des églises on les avance dez les 4 ou 5 heures après midy. A Autun on les dit sur les 2 heures, en vertu d'une fondation faite vers le milieu du siecle dernier. Jusque-là ces matines s'étoient toujours maintenues dans cette église à l'heure ordinaire, comme on en use encore parmy les Chartreux, & communément dans l'ordre de Cisteaux & en celuy de Fontevraud, ainsi qu'en l'abbaye d'Aroaise, de chanoines-réguliers, au diocèse d'Arras ; à Saint-Victor & à Saint Germain de l'Auxerrois de Paris, à Lyon, à Rouën, à S. Pierre d'Abbeville & en quelques autres maisons de l'ordre de Clugny. Ces matines, avancées de 13 ou 14 heures à Autun, ont en même temps entraîné complies avec elles, & ont fait remonter cet office le matin. C'est-à-dire, qu'on fait maintenant dans cette église, la priere du coucher avant le disner, ou, si l'on veut, avant de souper. (Telle sera toujours la bizarrerie des fondations, qu'on se permettra de faire & d'accepter, sans consulter l'esprit ni les regles de l'église). On en use de même à Meaux le vendredy saint, c'est-à-dire, qu'on y anticipe complies avant midy. C'est ainsi qu'à Noël on a encore prévenu depuis quelque temps à Autun, l'heure de matines, qu'on n'avoit jusque-là commencées qu'à minuit, comme on le pratique encore à Sens.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="20">'''20'''. ''Et c'est sur ce même fondement, que durant tout l'esté, dans les jours solemnels, les Jacobins & plusieurs églises séculieres, anticipent pareillement matines dez la veille. Et la raison de prévenir ainsi l'heure de ces matines solemnelles, sur tout au fort de l'esté, c'est que comme d'un côté l'office est plus long que celuy des jours ordinaires, & que de l'autre les nuits sont tres-courtes en cette saison ; si on attendoit à dire matines à minuit, il ne seroit pas possible de commencer laudes au point du jour, selon l'institution de l'église, qui est telle, que pour ne pas manquer à cette observance, on aimoit mieux autrefois abbréger matines, comme on le pratiquoit sur tout à Pâques ; où, matines ce jour-là se trouvant trop reculées dans la nuit, à cause de la longueur des offices du samedy-saint, on retranchoit jusqu'à deux nocturnes (ainsi qu'on les retranche encore), & on commençoit laudes immédiatement après le premier. Ipsa enim, dit Amalaire, en parlant de l'église Romaine, quotocunque ordine vel numero lectionum videris matutam procedere, dimittis nocturnale officium & incipit matutinale. S. Benoist, ch. II de sa regle, veut aussi que pour cette même raison, on retranche quelque chose des leçons & des répons de matines. (matutam dérivé de mane, qui signifie l'aurore, le point du jour, & de là matutinus, le matin).''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="21">'''21'''. ''Voicy, par exemple, ce que porte l'ordinaire des dames de Sainte-Glossine de Mets. "On cachera une chandelle ardente, laquelle on remontrera jusqu'à ce qu'il faudra lire la collecte."''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="22">'''22'''. ''Dom Claude de Vert, op. cité, page 81 et s.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="23">'''23'''. ''Dom Claude de Vert, op. cité, page 217.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="24">'''24'''. ''En d'autres églises, comme à Cambray &c. on dit l'hymne Inventor RUTILI. Selon le breviaire de Rennes de 1589, en montrant à la fin de tenebres, la lumiere qu'on avoit tenu cachée depuis le Benedictus, on disoit aussi, LUMEN Christi. Et c'est ce qui est encore en usage à Angers, où un enfant-de-chœur, élevant derriere l'autel, une torche allumée, après le Respice, dit pareillement ces mots, LUMEN Christi. Tout de même au Mans.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="25">'''25'''. ''Explication simple, litterale et historique des cérémonies de l'eglise. Par dom claude de vert, Trésorier de l'Eglise de Clugny, Visiteur de l'Ordre de Clugny en la Province de France, & Vicaire Général de S. A. E. Monseigneur le Cardinal de Boüillon, Doyen du Sacré College, Abbé Général de Clugny, &c. tome quatrieme contenant Lee Remarques sur les Rubriques de la Messe. A paris Chez florentin delaulne, ruë S. Jacques, à l'Empereur, M. DCCXIII. Avec Privilege du Roy & Approbations. [1706], pp. 403 et s.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="26">'''26'''. ''Les notes sont de l'auteur.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="27">'''27'''. ''Ep. 5.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="28">'''28'''. ''Lib. 4, c. 44.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="29">'''29'''. ''Cancellieri, op. cité, p. 20.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="30">'''30'''. ''Cf. Benedict. XIV, De Festis, lib. I, cap. v. 2. 3. 4. – Comment. hist. de Grancolas, tome II, p. 246. – Explication des cérémonies de l'Eglise, par D. Claude de Vert. Paris, 1720, 3e édit., tome I, p. 48. Ces deux derniers ouvrages, fort savants, mais pleins des opinions les plus téméraires, sont à l'index. – Mgr de Conny, les Cérémonies de l'Eglise expliquées aux fidèles. Paris, Haton, 1873, chap. XIX, p. 185.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="31">'''31'''. ''Goschler , op. cité, p. 58.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="32">'''32'''. ''Durandus (Guillaume Durand, Puimisson près de Béziers ~1230 – Rome 1296, écrivain, liturgiste et évêque de Mende) parle de 72 bougies employées dans quelques églises et seulement sept ou neuf dans d'autres.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="33">'''33'''. ''Le Sarum Ordinal en prescrit 24, et c'était le nombre général dans ce pays, différemment expliqué en tant que symbolisation des 24 heures du jour, ou les 12 Apôtres avec les 12 prophètes. On a permis une 25e bougie de demeurer allumée et cachée, comme on le fait aujourd'hui, derrière l'autel quand toutes les autres ont été graduellement éteintes.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;">span style="color:#808080;"><span id="34">'''34'''. ''Olicieri, op. cité, p. 32.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="35">'''35'''. ''S. Aubert de Cambray.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="36">'''36'''. ''Nevers.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="37">'''37'''. ''Le Mans.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="38">'''38'''. ''Paris, Rheims, Angers, les Jacobins.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="39">'''39'''. ''Tout ce qui suit l'usage moderne de Rome.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="40">'''40'''. ''Cambray, S. Quentin.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="41">'''41'''. ''Evreux.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="42">'''42'''. ''Amiens.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="43">'''43'''. ''Coutances.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="44">'''44'''. ''Claude de Vert, op. cité, p. 403.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="45">'''45'''. ''S. Ben. de Dijon.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="46">'''46'''. ''Amiens, S. Vandrille, Evreux, Fecan.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="47">'''47'''. ''Ord. Rom. Montcass. Corb.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="48">'''48'''. ''Clugny, Chesal-Ben, toutes celles qui suivent l'usage moderne de Rome.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="49">'''49'''. ''S. Vinc. de Laon, Bourgueil.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="50">'''50'''. ''Noyon, le Mans, Nevers.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="51">'''51'''. ''Rouen, Vienne en Daufiné, Bayeux, Avranches, Premontré.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="52">'''52'''. ''S. Quentin.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="53">'''53'''. ''Dol, le Bec, S.Ben sur Loire, Salisbury.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="54">'''54'''. ''Coutances, Chartres.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="55">'''55'''. ''Claude de Vert, op. cité, p. 425.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="56">'''56'''. ''Stat. antiq. 1. p. c. 13. §. 4.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="57">'''57'''. ''Rit. Cist. au. 1689.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="58">'''58'''. ''Cæremon. c. 35.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="59">'''59'''. ''Quinque candelæ ad Tenebras accendantur, quæ in fine quinque Antiphonarum de Laudibus singulæ extinguuntur. Brev. des Carmes de l'an 1542.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="60">'''60'''. ''Claude de Vert, op. cité, pp. 426 et s.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="61">'''61'''. ''M. Marolles, op. cité, pp. 231 et s.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="62">'''62'''. ''L'Office de la Semaine Sainte Francois et Latin. Selon le Messel et Breviaire Romain. Avec Une Méditation pour chaque jour de la Quinzaine, l'explication des Cérémonies de l'Eglise, quelques Remarques sur l'Office, & des Prieres pour la Confession & la Communion. Traduction nouvelle. A Paris. Par la Société des Libraires, M.DCC.XLIV, p. 117.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="63">'''63'''. ''La Semaine sainte à Rome, extrait de la série Le Tour du Monde, 379e liv., Ludovic Celler, 1867.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="64">'''64'''. ''Ludovic Celler, La Semaine Sainte au Vatican, Étude musicale, Paris, 1867.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="65">'''65'''. ''Rome pendant la Semaine sainte, Paul Renouard, Boussod, Valadon et Cie, Paris, 1891, p. 92.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="66">'''66'''. ''L'Année liturgique, La Passion et la Semaine Sainte par le R. P. Dom Prosper Guéranger, abbé de Solesmes, 27e Ed., Tours, Mame & Fils, 1924., pp. 334-335.''</span> | ||
+ | :<span style="color:#808080;"><span id="67">'''67'''. ''op. cité page 18.''</span> |