José Mir y Llusá

De Lamentations de Jérémie.

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Il a pour élève Manuel de Gamarra.  
Il a pour élève Manuel de Gamarra.  
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Dans sa musique religieuse, dans les travaux de double-chœur, les solistes forment l'un d'eux, alors que l'autre est composé d'un chœur mixte et de l'orchestre plus en dialogue qu'en ''cori spezzati'' comme in Italie. La basse figurée est encore basée sur la harpe et l'orgue (ou le clavecin pour Pâques) et avec l'addition occasionnelle du basson. Sa musique est restée longtemps en service après sa mort. Il a composé une ''Lamentación con violines'' ([[Abréviations|E-Zac]]).
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Dans sa musique religieuse, concernant les travaux de double-chœur, les solistes forment l'un d'eux, alors que l'autre est composé d'un ensemble mixte et de l'orchestre plus en dialogue qu'en ''cori spezzati'' comme in Italie. La basse figurée est encore basée sur la harpe et l'orgue (ou le clavecin pour Pâques) et avec l'addition occasionnelle du basson. Sa musique est restée longtemps en service après sa mort. Il a composé une ''Lamentación con violines'' ([[Abréviations|E-Zac]]).
''Le ''Quomodo obscurantum'' est fait partie de la tradition des Leçons de Ténèbres (plus précisément la seconde du Vendredi Saint) avec ses mélismes sur les lettres hébraïques qui ouvrent les versets. En dépit de l’excellence et de l’expressivité du ténor Lluís Villamajó, le caractère plus moderne et galant de l’écriture, un peu vain et d’une virtuosité gratuite dans les Lettres, avec des effets orchestraux trop opulents (''Adhaesit lingua'') d’un brio superficiel pour nos oreilles peut-être trop habitées par Charpentier ou Couperin. Se distingue tout de même nettement Le ''He. Qui vescebantur'' avec les délicieuses effusions du hautbois obligé.'' (Viet-Linh Nguyen)
''Le ''Quomodo obscurantum'' est fait partie de la tradition des Leçons de Ténèbres (plus précisément la seconde du Vendredi Saint) avec ses mélismes sur les lettres hébraïques qui ouvrent les versets. En dépit de l’excellence et de l’expressivité du ténor Lluís Villamajó, le caractère plus moderne et galant de l’écriture, un peu vain et d’une virtuosité gratuite dans les Lettres, avec des effets orchestraux trop opulents (''Adhaesit lingua'') d’un brio superficiel pour nos oreilles peut-être trop habitées par Charpentier ou Couperin. Se distingue tout de même nettement Le ''He. Qui vescebantur'' avec les délicieuses effusions du hautbois obligé.'' (Viet-Linh Nguyen)

Version du 7 novembre 2011 à 18:43

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