José María Beobide Goiburu
De Lamentations de Jérémie.
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| - | Compositeur et organiste espagnol, il débute ses études musicales dans sa ville natale avec l'organiste de la paroisse, Antonio Trueba, les continue à Pampelune et au conservatoire de Madrid, enseigne très tôt, dès 1900, au collège des pères jésuites de Quito en Equateur, enseigne le solfège et le piano de 1902 à 1906 au conservatoire de cette ville, est nommé en 1923 organiste de l'église de la ''Compañía de Jesús'', est transféré pour raison de santé à la cathédrale de Philadelphie, de retour en Espagne, enseigne au collège salésien de Baracaldo et, peu après, au ''Real Colegio'' Alfonso XII, des pères augustiniens à l'Escorial, tient les orgues de l'église de La Merced des pères jésuites, à Burgos, y dirige également la ''Banda Municipal'', est titulaire en 1930 de la chaire de musique de | + | Compositeur et organiste espagnol, il débute ses études musicales dans sa ville natale avec l'organiste de la paroisse, Antonio Trueba, les continue à Pampelune et au conservatoire de Madrid, enseigne très tôt, dès 1900, au collège des pères jésuites de Quito en Equateur, enseigne le solfège et le piano de 1902 à 1906 au conservatoire de cette ville, est nommé en 1923 organiste de l'église de la ''Compañía de Jesús'', est transféré pour raison de santé à la cathédrale de Philadelphie, de retour en Espagne, enseigne au collège salésien de Baracaldo et, peu après, au ''Real Colegio'' Alfonso XII, des pères augustiniens à l'Escorial, tient les orgues de l'église de La Merced des pères jésuites, à Burgos, y dirige également la ''Banda Municipal'', est titulaire en 1930 de la chaire de musique de ''l'Escuela Normal del Magisterio'' de Pampelune, y tient également les orgues de l'église de ''Jesús y María'', est nommé en 1940 professeur de l'''Academia de Música'' de Pampelune, convertie en conservatoire en 1957 alors qu'il en est le sous-directeur. [[Antonio José Martínez Palacios]] est l'un de ses élèves les plus connus. |
Parmi ses compositions, on relève la ''Lamentatio il Sabbato Sancto'' et le ''Quomodo obscuratum est'' à 3 vx (MSH, 1915). | Parmi ses compositions, on relève la ''Lamentatio il Sabbato Sancto'' et le ''Quomodo obscuratum est'' à 3 vx (MSH, 1915). | ||
